vendredi 24 juillet 2009

P(lui)ARIS(oleil)



Je ne comprends pas Paris. On la surnomme  « LA capital de la mode », et je suis d’accord quand au choix vestimentaire et magasins qui calment nos plussions de super consommatrices que nous sommes.

Mais Paris me contrarie. Et je suis persuadée que vous ressentez la même chose que moi.

On se réveille le matin à cause de la CHALEUR, cette chaleur incompréhensible ! il a plu pourtant hier ! Je me réveille en culotte et mini débardeur, la couverture au pied du lit…(ok j’avoue que le réveil y est quand même pour quelque chose, j’essaie en vain de bosser mes rattrapages…hum hum)

Ensuite ptit dej, et c’est parti pour une journée de travail intensive (hum hum…)

Au bout de deux heures et demie, je craque et décide donc de sortir.

En deux, trois appels, textos et bbm (= si vous ne connaissez pas encore (alors cela veut dire que vous vivez sur une autre planète) c’est LE nouveau moyen de communication, l’équivalent de msn sauf qu’il relie tous les blackberry du monde entier, c’est magique !) je m’organise mon après-midi, mais ce n’est qu’après que tout se complique…

Je me cloue devant mon armoire (ou plutôt je me balade entre celle de mes sœurs ma mère), et c’est à ce moment-là que je me pose LA question : tenue d’hiver ou d’été ?

Vous : « A. est-elle devenu folle ? on est en juillet ! juillet= été !! »

Moi : « Les poupées ! on habite à PARIS ! vous savez cette ville où peuvent régner déluge et soleil ! »

Je suis de ces personnes poursuivies par la poisse, dans le cas présent c’est simple :

-Si je décide de mettre des manches longues et un jean (dis comme ca, cela ne vous paraît pas stylée, je vous laisse imaginer que le haut est en réalité une tunique en soie et le jean, euh,un jean !), j’arriverai à mon rendez-vous en eau, les cheveux qui auront gonflé, et bien sûr plus une goutte de maquillage.

-Si je porte mon choix sur une petite robe courte et des sandales, je ferais trois pas, heureuse d’avoir fait enfin le bon choix de tenue, et… Mais qu’est ce que je sens ? non ce ne sont pas des gouttes ? P****, le déluge est revenu !

J’arrive donc au rendez-vous, trempée de la tête au pied…

Alors oui, PARIS me contrarie ! Aujourd’hui je reste chez moi ! J’ai ma valise à faire de toute facons (faut bien que je me trouve une occupation=A. en mode rageuse)

Vivement les VRAIS vacances !

Bonne journée les poupées !

 

                   

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